•  

    Des films so Roriiii, j'essaie d'en présenter quelques uns sur ParisNoMado, et j'en garde même encore un peu pour plus tard. Des contes, principalement, et des drames en costumes froufroutants. Ce sont souvent des films mignons et roses (ou noir) et féminins et jolis mais pas aussi bêtes qu'ils en ont l'air et surtout pas puérils (enfin j'essaie). Mais combien parmi tous ces scénarios passés ou futurs ont pour personnages de véritables Lolita du XXe ou XXIe siècle ? J'essaie de les énumérer tous dans ma tête mais je ne parviens pas à dépasser les doigts d'une main. En vérité, si l'on excepte les rares apparitions dans une foule au détour d'une scène ou les films gore qui s'en servent de gimmick, les Lolita qui sont pour moi les mieux représentées dans leur "environnement naturel" sont celles (ou plutôt "celle") de Shimotsuma Monogatari (Kamikaze Girls), à savoir Momoko.

     

    Or, il se trouve qu'un autre film, ou plutôt un court-métrage, étrangement similaire à Shimotsuma a fait son apparition sur le marché sous le nom de Mister Rococo. Pour faire court, c'est l'histoire d'une pure réplique de Momoko, Yumi (jouée par Aimi Satsukawa), une Lolita qui aime les choses "kawaii", le Rococo et, surprise... s'habiller en Baby, The Stars Shine Bright - car oui, la marque tente de ramuter quelques nouvelles "Lolit-adeptes" en étant à nouveau partenaire officiel d'un film ! La princesse vit donc tranquillement dans son petit monde tout doux et tout mignon mélangeant séquences réelles et anime Shoujô (tiens donc) jusqu'au jour où elle tombe sous le charme d'un mec bizarre de Hiro (Neko Hiroshi). Or, celui-ci est passionné par le bon gros catch à la dur. Yumi décide alors de s'y lancer elle aussi afin de lui prouver qu'elle aussi peut être forte.                                         

    Le concept de la fragile Lolita qui cache en elle un "eye of the tiger" a maintes fois été vues et revues. Mister Rococo y ajoute la passion du catch, discipline de plus en plus à la mode ces derniers temps. Le personnage antagonique à l'héroïne est cette fois un homme, remplaçant l'histoire d'amitié de Momoko et Ichiko en histoire d'amour pas banale. Et si je vous dis que la chanson du générique est signée Anna Tsuchiya, aka ladite Ichiko dans l'autre film, la boucle est bouclée ! Malgré cela, je dois admettre encore une fois être plus qu'emballée à l'idée d'un tel film, surtout après avoir adoré Shimotsuma Monogatari. Ce genre de films a toujours été tellement rare du côté des Lolita qu'il faut bien se mettre quelque chose sous la dent, même si c'est du réchauffé.

      Cherchez les intrus...

    Mister Rococo a été présenté en Juin au Short Short Film Festival, festival japonais dédié aux courts-métrages. Aucune information à ce jour ne nous est parvenue quant à la possibilité d'une diffusion en Occident, alors en France...!

    Le site officiel du film

    Twitter

    Le blog de Aimi Satsukawa

    ___________

    My Twitter / Tumblr / Formspring


    2 commentaires
  •  

    Celles d'entre nous qui étaient là en 2008 se souviennent probablement de Confessions of an American Lolita, un manga crée par une obscure Lolita américaine nommée Lilly Higgs. L'histoire suivait Emily, 18 ans, dans ses tribulations face aux gens de sa petite ville et aux autres Lolita de la communauté online "PGL". L'initiative a reçu un excellent accueil, un deuxième chapitre était déjà en route. Et puis plus rien.

    Par la suite, le sujet des bande-dessinées Lolita a régulièrement été mis sur le tapis : fallait-il une héroïne réaliste ? Une Wonder Woman en froufrous ? Sous forme de Shoujo manga, au risque de se faire cataloguer ? Bref, beaucoup de discussions pour pas grand-chose.

    Août 2010, un Rori-comic est enfin né. Marchant sur les traces de son prédécesseur, I'R Lolita (IRL) dépeint nos us et coutumes en quatre cases noir et blanc bourrées d'humour et d'auto-dérision. Ce webcomic est aussi bien destiné aux initiées qu'aux profanes un peu perdus, et se veut l'écho dédramatisé de nos conflits, contradictions et mystérieuses obsessions Roriesque. Chaque samedi verra s'ajouter quatre nouvelles petites cases qu'on attendra très vite autant que les hebdomadaires Loli_valentines et Loli_secrets !

    Parce que la vie d'une Lolita de nos jours a aussi bien lieu online qu'IRL. Et aussi parce que les Lolita sont décidément des créatures bien étranges. ;-]

     

    Dans la même lignée, quelques nouvelles sont récemment parvenues à propos de la prochaine publication de François Amoretti. On sait qu'il travaille depuis quelques mois sur une réédition augmentée de son Chaperon Rouge, prévue pour Novembre. Une planche provenant d'une suite (inédite !) du conte a été dévoilée (ci-contre) sur le blog de la collection Blackberry. Pour voir le reste de la page, voir le lien en bas de cet article. Enjoy !

    Pour rappel, François Amoretti sera en dédicace au Salon du Livre de Fuveau les 4 et 5 Septembre, ainsi que le 29 Août aux dédicaces de son amie Imai Kira en tant que soutien discret !

     

    Confessions of an American Lolita 

     IRL, I'R Lolita

    Une page du Petit Chaperon Rouge 

     

    ___________

    My Twitter / Tumblr / Formspring


    4 commentaires
  •  

    Bon. Dans mon post du 6 avril, lorsque j'espérais que la tendance "Alice" puisse profiter à des artistes peu connus du grand public, je pensais déjà à Ödland et aux Sumire mais aussi, et parce que son dernier livre venait de sortir, à François Amoretti ! Quoi, nous sommes le 23 mai à présent ? Hum, et bien, mieux vaut tard que jamais (en parlant de retard...). 

    Histoire de nous rafraîchir la mémoire, rappelons qu'une nouvelle édition d'Alice au Pays des Merveilles est parue en mars dans la collection Blackberry chez Soleil, dans le même format que Gothic Lolita. Nouvelle édition voulant dire nouvelle traduction, par Martine Céleste Desoille, mais aussi nouvelles illustrations avec ce cher Amoretti, qu'il est inutile de présenter ! Je ne m'attarderais pas sur la traduction, principalement car je ne me souviens pas de celle que j'ai lu lorsque j'étais enfant et que la version qui trône depuis un moment dans ma bibliothèque est encore différente. De plus, ce blog a pour but de s'attarder sur la partie Lolita des oeuvres présentées, discutons alors des dessins d'un des artistes les plus connus de ce mouvement en France !

    M. Amoretti abandonne pour un temps les couleurs franches de son précédent livre pour l'aquarelle et encore plus de noir et blanc, et voit ainsi confirmée son habilité à jongler avec différentes techniques tout en gardant un univers propre que l'on commence peu à peu à cerner. Ici, l'on remarque une volonté affichée de respecter au plus près les illustrations de John Tenniel, qui a travaillé sous les indications extrèmement précises de Lewis Carroll. L'illustrateur y a cependant ajouté sa petite touche personnelle. Une Alice Lolita bien sûr. Des macarons Eat Me. Mais regardez d'un peu plus près et vous y verrez des poulpe-fraises et des compositions qui ne sont pas sans rappeler un certain Chaperon Rouge, sa première oeuvre auto-publiée... Avec comme toujours, un sens du détail très appréciable et un soin que l'on trouve jusqu'au grain du papier. Bref, quelque chose de très moderne mais une nostalgie rêveuse, tout ce qui fait l'art de notre Aixois favori.

    Justement, la Alice qu'il nous présente correspond totalement à cette description. Bien sûr, elle est blonde et garde la robe bleue et le tablier qui en font son gimmick. Mais elle est Lolita, c'est-à-dire une fille ancrée dans son époque. Une Lolita qui a bien poussé qui plus est, puisque c'est une jeune femme, voire une adolescente. Le fait d'avoir choisi de l'habiller ainsi ne fait donc pas de l'héroïne une enfant, comme le précise François sur son blog. Le changement est discret, soit, mais très significatif. A un premier niveau, il peut signifier qu'Alice Au Pays des Merveilles est aussi un livre destiné aux plus grandes, ce qu'on s'empressera d'approuver au vu de toutes les variations qui existent sur ce thème. Cependant, nous nous trouvons ici en présence d'un livre illustré et non d'une réécriture, dont la traduction est certes inédite, éloignée des sentiers battus ("un thé chez les fous" devient "un thé de la compagnie des dingues"), mais offre tout de même un décalage frappant entre la personnalité d'Alice, dix ans, selon Carroll et celle d'Alice, vingt ans, selon Amoretti. Vous me suivez ? Alice semble plus douce et plus mûre en dessin que par écrit, et c'est une chose qui ne m'aurait pas frappée autant si l'une et l'autre ne s'étaient opposées sur une même page.

    Je trouve cette interprétation plutôt risquée finalement, en particulier envers les Lolita qui, pour certaines, pourraient ne pas se reconnaître à travers le caractère de ce personnage, quelle que soit sa version. En même temps, je pense comprendre la démarche d'Amoretti : Alice au Pays des Merveilles a beau être un conte qui ne plaît pas à toutes les Lolita, il reste que c'est une oeuvre qui a profondément influencé ce mouvement, tant d'un point de vue esthétique que dans son imaginaire. Le Lolita lui devait donc bien un petit hommage, un vrai, que le lecteur lambda pourrait trouver dans n'importe quelle librairie du coin. Et ça, c'est une petite victoire pour nous. J'aime l'idée que le Lolita se soit faufilé dans un classique de la littérature anglo-saxonne.

    Notre communauté en général a aussi de quoi profiter d'une telle production. Celles qui n'ont jamais lu l'oeuvre de Lewis Carroll pourront s'instruire sur ce pilier de la culture Lolita tandis que les plus avisées se replongeront dans ses sources. Et qui sait ? Cela ameutera peut-être une future génération de Rori tout comme Gothic Lolita- Princesses d'Aujourd'hui a peut-être pu l'être.

    Finalement, l'atmosphère de cet Alice au Pays des Merveilles correspond plutôt bien au Lolita de François Amoretti : très doux mais un peu sucré, rêveur mais un peu fou, très féminin et discrètement original. Il n'a pas besoin d'être tapageur pour avoir sa place parmi toutes les publications sorties à la même période. Ce n'est pas forcément ma vision de l'oeuvre, tout comme chacune possède sa propre interprétation de ce qu'est le Lolita pour elle, il n'empêche que cet univers m'a emporté plus loin que certains n'ont pu le faire, mine de rien. J'en attends donc beaucoup de son prochain livre illustré, qui sera une réédition de son fameux Chaperon Rouge de Charles Perrault ! 

     

    Blog de François Amoretti

    Commander sur Fnac / Amazon


    votre commentaire
  • Alice au Pays des Merveilles adapté par Tim Burton ? Quand j'ai appris la nouvelle, j'étais folle de joie. Quoi, un cinéaste que j'adore, un livre que j'adule ? Oui, mais au fil des mois, au fil des news, mon enthousiasme s'est légèrement tempéré, jusqu'à presque devenir indifférence lors de la sortie pourtant tant attendue. Le croirez-vous ? Je n'ai vu le film qu'au début de cette semaine, à savoir deux jours avant qu'il soit déprogrammé près de chez moi ! Autant dire que j'y suis allée à reculons (flemme aidant). J'ai néanmoins essayé avant cela de ne pas faire attention aux critiques presse et spectateurs qui circulaient un peu partout, histoire de forger mon opinion seule. J'ai également tenté de balayer mes a priori, ce qui s'est avéré plutôt compliqué. N'hésitez pas à réagir à mes propos, que vous soyez d'accord ou non ! :-]

                                  

    Pour commencer, j'ai eu beaucoup de mal à "entrer" dans l'histoire (peut-être parce j'étais arrivée au tout dernier moment, comme par hasard lorsque le logo Disney est apparu). Toujours est-il que le film n'a vraiment commencé pour moi qu'à partir de la chute d'Alice dans le terrier. Là, j'ai littéralement été emportée par la musique de Danny Elfman. Et puis, ce changement brutal d'atmosphère possédait même un côté inquiétant et drôle, et je me suis dit que c'était probablement une expérience terrifiante de tomber dans un trou tout en se cognant dans un piano !

    Esthétiquement, je ne pouvais pas nier que je trouvais ça joli, même si je n'aime pas spécialement les films trop "plastiques". Ce n'est pas ainsi que j'aurais imaginé le Pays des Merveilles mais soit, c'est normal et plutôt positif de découvrir plusieurs visions différentes d'une même oeuvre. Les costumes étaient aussi assez géniaux dans leur genre, j'ai particulièrement apprécié les multiples tenues d'Alice, celle de la Reine Blanche, et tout ce qui touchait à la Reine Rouge, château compris ! La 3D était un gadget amusant en plus d'un bon point marketing mais n'offrait qu'un intérêt limité. J'ai trouvé cela dommage, d'autant plus que c'était la première fois qu'on adaptait l'histoire sous ce format. Les possibilités étaient infinies et j'étais donc assez frustrée de ce côté-là. Le film a bien réussi à me faire lâcher un "Waw" de temps à autre lorsqu'un objet donnait l'illusion de s'échapper de l'écran, mais pas beaucoup plus.

    Pour celles qui se demanderaient quelle était au final l'influence de Disney dans le film, et que je redoutais moi-même, il vous intéressera de savoir qu'elle se trouvait à peu près partout. Manque de subtilité dans l'intrigue parallèle (le mariage arrangé d'Alice), dans les dialogues de début et de fin, dans la morale que l'on voyait venir à 10 000km. Il n'y avait aucune surprise dans le scénario, tout était prévisible, cousu de fil blanc, alors que l'oeuvre de Lewis Carroll joue justement sur le non-sens, l'absurde, l'inattendu ! En fait, si l'on exceptait la scène du terrier ainsi que celle de la tea party, je dois avouer ne pas avoir retrouvé l'atmosphère du livre original. Pire, en regardant cet Alice au Pays des Merveilles, un énorme panneau NARNIA n'a pas cessé d'apparaître dans mon esprit. La patte Burton se distinguait principalement par les sublimes performances de ses acteurs fétiches Johnny Depp (le Chapelier Fou) et Helena Bonham-Carter (la Reine Rouge). Et encore, ils volaient presque la vedette à l'héroïne de l'histoire (Mia Wasikowska en Alice). 

    Alors Alice by Tim Burton, film Lolita ? Eh bien non, pas vraiment. Bien que la promo du film s'est efforcée de rallier les populations emo/rock/goth avec une BO alternative riche en couleurs, et ciblait même les Lolita avec une Tea Party rien que pour elles à San Francisco, j'y ai plus vu un film pour enfants qu'autre chose (quoique j'ai entendu quelqu'un dire dans la queue que même les gosses qu'il connaissait n'avaient pas aimé). Alors oui, il abordait des thèmes chers aux Lolita tels que la différence, le fait de ne pas oublier ses rêves et de ne vivre que pour soi, mais ne nous voilons pas la face, cela manquait sérieusement de complexité. Voilà, c'était beaucoup trop simple.

    Non sérieusement, c'était tellement léger, tellement gentil (je n'ose pas dire niais), tellement conventionnel que j'ai du mal à imaginer que Burton aime son propre film.

    J'étais triste d'être atterrée après avoir vu un Burton, puis carrément désespérée en entendant le générique de fin gueulé chanté par Avril Lavigne. J'ai alors attendu que la chanson se termine et laisse place au fabuleux thème principal d'Elfman, histoire de ne pas trop gâcher ma journée.

    Et vous, qu'avez-vous pensé de cette version d'Alice au Pays des Merveilles ? Trouvez-vous que Tim Burton et Disney, indépendemment l'un de l'autre ou non, soient Rori ou pas Rori ?

    ___________

    My Twitter / Tumblr / Formspring 


    8 commentaires
  • Ce 28 octobre 2oo9 était un jour extrêmement important dans le monde du Lolita en France. En effet, Gothic Lolita - Princesses d'Aujourd'hui, illustré par François Amoretti et écrit par Audrey Alwett est sorti en librairie !

    Les Lolita sont des princesses sucrées. Enfroufroutées de la tête aux pieds, elles aiment servir le thé, déclamer des poèmes et changer leurs rêves en réalité.

    Le jour où ses parents lui ordonnent de trouver un métier, Sumire prend une décision : elle fondera la toute première école pour Lolita. Musiciennes, pâtissières et couturières se laissent vite convaincre d'en être les professeurs, mais bientôt, fâcheux et jaloux sont eux aussi au rendez-vous...

    Un conte destiné aux princesses d'aujourd'hui, à celles dont le coeur balance entre fantaisie et élégance.

    Ce conte de 96 pages, bilingue Français/Japonais, est le premier beau-livre de la collection Blackberry (Soleil)... Et quel livre ! Première victoire : moi qui m'attendais déjà à l'incompétence de la librairie et cherchais dans le rayon manga, voilà que l'on m'indique celui des bande-dessinées francophones ! Deuxième victoire : le livre est grand, le livre est beau et de très bonne qualité qui plus est. Le titre, doré, est en relief sur une épaisse couverture, le papier sent bon (très important) et la mise en page est claire, lumineuse et laisse les dessins "respirer". En bref, j'étais tellement heureuse que je n'arrêtais pas de caresser la couverture. *caresse la couverture* Et en rentrant chez moi, je me suis confortablement installée dans un coin de ma chambre, emmitouflée dans la couette rose de mon lit à baldaquin, et ai commencé, dans mon petit cocon Lolita, à lire à voix haute la préface - "à la fraise et aussi à la chantilly"...

    La plume allègre et enchanteresse d'Audrey Alwett nous emmène avec aisance dans l'univers de Sumire, un pays rempli de poulpes-fraises et d'escargots-choux. On s'émerveille devant toutes ces petites choses qui font le monde des Lolita, les objets surréalistes de l'Encyclopaedia Lolitae et la petite dose d'absurde disséminée tout au long de l'histoire, toujours de façon très poétique. Le ton est plein d'onirisme, oui, mais aussi bourré d'humour et dénué de premier degré. Le texte sert parfaitement les dessins de François, dont on admire la dextérité, autant en noir et blanc qu'en couleurs. Ce qui fait aussi la valeur de ces illustrations, c'est l'absence de retouches informatiques. Tout à été fait à la main, et ça se voit : les coups de pinceau sont encore visibles, et nous donnent l'impression de toucher du doigt un original. Je n'arrive pas à trouver la page que je préfère, chacune est différente de la précédente.

    Et j'aime ces bonus qui incitent à développer l'imaginaire ! J'ai d'ailleurs hâte de voir les résultats du concours Gothic Lolita, où chacune doit inventer une page de l'Encyclopaedia. Une manière de faire participer tout le monde à la création d'un monde en rose et noir, notre monde.

     Alors, à qui est destiné Gothic Lolita ? La réponse est : à tout le monde ! Autant aux grandes filles, de part ses nombreuses références et la participation de huit artistes issus de la sphère japonaise, mais aussi aux petites qui apprécieront ces histoires de princesses du XXIe siècle. Si mon petit frère était une petite soeur, j'aurais pu partager un moment comme celui-là avec elle, et, ensemble, le faire durer pour ne jamais avoir à sortir de cet univers doux et sucré comme les pâtisseries de Blueberry !

    Avant, mon rêve était d'entrer à Poudlard. Je l'ai vite remplacé par l'école de Sumire. Mais à une condition : qu'on y intègre un professeur de littérature Lolita ! ♥

     

      BLOGS DES AUTEURS

    Audrey Alwett 

    François Amoretti  

    POUR ALLER PLUS LOIN

    Premières pages du livre (format pdf)

    Critique de Madmoizelle.com 

    Concours Gothic Lolita 

    POUR ACHETER

    Fnac.com / Amazon.fr (en édition normale, la sortie de la collector ayant été repoussée au 25 novembre !)

    Boutique François Amoretti (goodies Gothic Lolita à venir prochainement)

      

    PnM SUR TWITTER 


    4 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique